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Santé | Prévention | Soins personnels et esthétique

Ce qu'il faut savoir avant d'opter pour le blanchiment des dents

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Par Amélie Cléroux

Vous rêvez de dents immaculées? Les traitements offerts chez le dentiste et les produits en vente libre – comme les bandes blanchissantes, les gouttières, les produits pourvus d’un applicateur et le fameux charbon activé – se déclinent dans une vaste gamme de prix, tandis que leur efficacité et leur innocuité peuvent varier. Voyez pourquoi.

Comme plusieurs, Audrey Reid Langevin utilisait parfois des bandes blanchissantes vendues en pharmacie, question de redonner de l’éclat à ses dents « poreuses qui jaunissent un peu plus facilement que la normale », selon ses dires; un rituel qu’elle a aujourd’hui abandonné. « Je ne trouve plus cela aussi important que lorsque j’étais dans la vingtaine ou à l’adolescence », affirme la femme de 32 ans.

Jean-François Lortie, président de l’Ordre des hygiénistes dentaires du Québec (OHDQ), note d’ailleurs que la publicité pour les produits blanchissants cible de plus en plus les jeunes sur les médias sociaux, comme TikTok et Instagram, notamment par le biais d’influenceurs appréciés des adolescents. « Ces traitements ont toujours été populaires, mais l’offre s’est beaucoup élargie », dit-il. Non seulement la grande majorité des cabinets de dentistes en proposent-ils, mais des produits vendus à prix modique pullulent en magasin et en ligne.

Purement esthétique

« Au départ, les dents blanches et immaculées ont été créées de toutes pièces par Photoshop afin que le sourire des mannequins dans les publicités soit “parfait” », explique Jean-François Lortie, qui rappelle que cette perfection n’existe pas et que les canines, par exemple, sont généralement plus jaunes que les autres dents. D’ailleurs, selon l’Association dentaire canadienne (ADC), la couleur naturelle des dents varie du grisâtre au jaune.

Adopter de bonnes habitudes – comme vous brosser les dents après les repas au moins deux fois par jour, le matin et le soir – permet d’éliminer la plupart des taches superficielles causées par la nourriture ainsi par que la consommation de café et de thé, notamment.

Cela dit, la décision de blanchir ou non vos dents vous appartient. « Ça demeure un moyen peu invasif d’embellir votre sourire », affirme la Dre Annie St-Georges, professeure titulaire à la Faculté de médecine dentaire de l’Université de Montréal. Avant de vous lancer, toutefois, il est important de bien connaître les différentes options qui s'offrent à vous afin de les utiliser de façon adéquate.

Les traitements encadrés par un professionnel de la santé – en cabinet ou avec des gouttières faites sur mesure – vous coûteront plusieurs centaines de dollars. Les produits en vente libre (bandes blanchissantes, gouttières, etc.) sont moins chers – entre 10 et 200 $ environ –, mais leur efficacité est variable. D’ailleurs, quel que soit votre choix, il vaut mieux consulter votre dentiste au préalable. Voici pourquoi.

Une histoire de peroxyde d’hydrogène et de carbamide

D’entrée de jeu, il faut différencier les produits composés d’agents abrasifs qui éliminent les taches sur la surface des dents (voyez la section « Les abrasifs et autres produits dits "blanchissants" ») de ceux qui pénètrent l’émail et altèrent donc leur couleur intrinsèque.

Pour ce faire, difficile de vous fier aux emballages! « Les fabricants peuvent écrire à peu près n’importe quoi », observe Jean-François Lortie, de l’OHDQ. Le terme « blanchissant », par exemple, n’est pas réglementé.

Or, « à ce jour, seuls les traitements à base de peroxyde d’hydrogène ou de carbamide sont reconnus pour blanchir véritablement l’émail », indique la Dre Annie St-Georges, connue dans le milieu pour son expertise sur le sujet. Le peroxyde attaque et brise les molécules foncées qui se trouvent dans l’émail, ce qui rend les dents plus claires. Par ailleurs, « l’efficacité dépend de deux facteurs : la concentration en peroxyde, mais surtout la durée de l’exposition », résume l'experte.

Vous êtes tenté par une séance éclair en cabinet? Le dentiste ou l’hygiéniste dentaire utilisera alors une forte concentration de peroxyde d’hydrogène, soit de 25 à 40 % en moyenne, pour compenser la courte exposition au produit.

De leur côté, les traitements que vous ferez chez vous, au quotidien, pendant une à deux semaines contiennent un produit moins concentré, composé généralement de 3 à 12 % de peroxyde d’hydrogène ou de 10 à 30 % de peroxyde de carbamide. Ce dernier s’active au contact de la dent : « 10 % de carbamide devient environ 3 % d’hydrogène », explique Annie St-Georges. Du fait de son action, il s’utilise sur de plus longues durées, soit la nuit.

Notez toutefois que le peroxyde se décompose dans la salive; ainsi, « si vos dents ne sont pas protégées pendant le traitement, ça ne marchera pas », souligne la spécialiste. Enfin, certains traitements et produits combinent de la lumière (une petite lampe se trouve dans l’emballage, par exemple) à l’agent de blanchiment pour l’« activer » et accélérer le processus, mais « cela dégrade aussi le peroxyde plus rapidement », fait remarquer la Dre St-Georges. Bref, cette lumière n’est pas en soi un facteur de réussite si les autres principes ne sont pas respectés.

Blanchiment à efficacité variable

Les résultats d’un traitement, quel qu’il soit, peuvent varier d’une personne à une autre. L’âge joue un rôle à cet égard : « Sauf exception, les dents de quelqu’un qui a 75 ans sont plus difficiles à blanchir que celles des gens de 40 ans », illustre Daniel Pierre Kandelman, qui est dentiste. Ce dernier précise que le blanchiment est toujours possible pour des dents plus « vieilles », mais que le traitement pourrait être plus long ou les résultats, un peu moins impressionnants.

« Les dents foncent ou jaunissent naturellement avec l’âge, car l’émail s’amincit et la dentine – soit la couche du dessous, qui est jaunâtre – devient plus apparente », explique le Dr Kandelman, qui est aussi professeur à la Faculté de médecine dentaire de l’Université de Montréal.

De même, si vous avez utilisé de la tétracycline – un antibiotique dont l'un des effets connus est le jaunissement des dents – par le passé, le traitement pourrait prendre plusieurs mois.

Par ailleurs, votre « sourire 2.0 » ne durera pas éternellement. Si vous souhaitez conserver la teinte initiale, vous devrez répéter l’exercice au bout de quelques années ou même de quelques mois. Selon Santé Canada, les trousses de blanchiment en vente libre ont une efficacité qui peut durer jusqu’à six mois.

Notez que les traitements de blanchiment sont efficaces sur les dents naturelles seulement. Si vous avez des obturations en composite, des facettes ou des couronnes, les tons pourraient alors jurer.

Consultez un dentiste

Depuis le 24 septembre 2020, plus question d’aller vous faire blanchir les dents chez l’esthéticienne! Selon une loi modifiant le Code des professions, seuls les dentistes et les hygiénistes dentaires sont autorisés à recourir à cette technique, tandis que l’examen préalable est réservé aux dentistes, qui s’assurent que la condition buccodentaire du patient le permet.

Cette loi n’encadre toutefois pas les produits utilisés; vous pouvez donc acheter vous-même des trousses en magasin. N’empêche, il est sage de consulter un dentiste avant d’entreprendre un tel traitement. « Profitez de votre rendez-vous annuel pour en glisser un mot et savoir si l’utilisation d’un produit est indiquée ou non pour vous », recommande Jean-François Lortie, de l’OHDQ.

« Appliquer du peroxyde sur une dent en mauvais état peut être très douloureux, poursuit-il. Un examen permet de détecter un éventuel début de carie, un plombage défectueux, une fêlure, une racine exposée ou un problème de gencive qu’il faudra traiter au préalable. »

Alerte aux dents sensibles

Une certaine sensibilité des dents – notamment au chaud et au froid – est à prévoir après un traitement de blanchiment. « La majorité des gens ressentent des effets secondaires, indique Jean-François Lortie. Dans 9 cas sur 10, cette sensibilité s’estompe en quelques jours, ou quelques semaines dans les pires cas. » Néanmoins, chez les personnes qui sont prédisposées à l’hypersensibilité des dents, ces effets secondaires pourraient perdurer. 

Dans le cas d’un traitement chez le dentiste, qu'on parle d'une séance en cabinet ou de gouttières faites sur mesure à porter à la maison, la concentration en peroxyde, de même que la durée d’exposition, sera adaptée à votre situation. Le professionnel peut aussi ajouter un agent désensibilisant. Si vous utilisez un produit de pharmacie, il pourra alors vous conseiller un dentifrice spécial.

Le peroxyde peut aussi irriter les tissus mous de la bouche, comme les gencives. Cela survient notamment si un produit est mal adapté à votre bouche et que le peroxyde est en contact direct avec celle-ci, par exemple si des bandes blanchissantes empiètent sur vos gencives. Mais attention : ressentir une vive douleur aux dents ou aux gencives n’est pas normal. Si cela survient, arrêtez l’usage du produit et consultez un dentiste.

Enfin, sachez qu’un nettoyage préalable au traitement accroît les chances de réussite et l’uniformité du résultat, comme l’explique Jean François Lortie, car le produit pénètre plus facilement l’émail en l’absence de plaque dentaire et de tartre.

Y a-t-il des risques pour l’émail et pour la santé?

Sur son site internet, l’ADC indique que « les effets à long terme du blanchiment sont encore inconnus et doivent faire l’objet de recherches ». Faut-il s’en inquiéter? « Nous faisons des traitements de blanchiment depuis plusieurs décennies déjà. D’après les suivis avec les patients et les études que nous faisons, rien n’indique que c’est nuisible à long terme », indique la Dre Annie St-Georges.

Bien sûr, elle attire l'attention sur le fait qu'il faut suivre les indications du dentiste ou du fabricant de la trousse. Un usage excessif, voire compulsif pourrait engendrer une érosion anormale de l’émail. « On observe une très légère érosion de l’émail dans les jours qui suivent un traitement, explique la Dre St-Georges. Mais comme il y a un échange constant de minéraux entre la salive et les dents, tout redevient normal rapidement. »

Pour le reste, les trousses de blanchiment des dents sont sans danger si elles sont utilisées conformément aux instructions, selon Santé Canada. Michel Alsayegh, président de l’Ordre des chimistes du Québec (OCQ), abonde dans le même sens. Le chimiste avertit toutefois qu’ingérer du peroxyde pourrait par exemple irriter la gorge et l’estomac, et que cette solution s’avère dangereuse si elle est consommée en grande quantité. « Si une personne utilise trop de produits ou que les gouttières sont mal adaptées, que ça déborde et qu’elle avale sa salive, elle pourrait sentir que sa gorge est un peu irritée », illustre la Dre Annie St-Georges.

Par ailleurs, l’Ordre des dentistes du Québec spécifie que les femmes enceintes ou qui allaitent ainsi que les enfants de moins de 12 ans ne devraient pas suivre de traitement de blanchiment des dents ou utiliser de produits ayant le même but.

N’achetez pas n’importe quoi

La plupart des fabricants n’inscrivent pas sur l’emballage la concentration en peroxyde de leurs produits, même dans le cas de ceux qui sont vendus en pharmacie, car ils ne sont pas tenus de le faire. Au Canada, tous les traitements de blanchiment des dents – sauf ceux qui contiennent du fluorure (lequel ne blanchit pas les dents, mais les protège) – sont considérés comme des produits cosmétiques.

Le chimiste Michel Alsayegh et la Dre Annie St-Georges vous recommandent de consulter un professionnel de la santé, ou, à tout le moins, de choisir des produits reconnus par une association de dentistes fiable (comme l’ADC). En d’autres mots : méfiez-vous des produits dont vous ignorez l’origine ou la fiabilité, notamment sur Internet. « Au-delà de la teneur en peroxyde, qu’est-ce qui entre dans sa composition? Par exemple, le pH du produit est-il adéquat pour les dents comme l’est celui des traitements approuvés par les dentistes? Nous ne le savons pas », conclut la spécialiste.

Sous la loupe : traitements et produits offerts chez le dentiste

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TRAITEMENT EN CABINET

Coût : entre 500 et 800 $ environ pour une séance. Variable selon le cabinet, le nombre de séances nécessaires et leur durée ainsi que les besoins de la personne.

Fonctionnement : la séance dure de 30 minutes à 1 heure environ. Une seconde séance est souvent nécessaire, et parfois davantage dans certains cas.

Remarque : « Le résultat peut sembler spectaculaire sur le coup, mais c’est parce que la dent est asséchée », prévient la Dre Annie St-Georges. Au bout de quelques heures, l’effet sera atténué. N’empêche, « vous pouvez obtenir de bons résultats, indique-t-elle. C’est utile pour les gens qui veulent quelque chose de rapide, sans se compliquer la vie. »

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GOUTTIÈRES SUR MESURE

Coût : environ 600 $. Variable selon le cabinet, la durée du traitement ainsi que les besoins de la personne.

Fonctionnement : des gouttières moulées expressément pour votre dentition (une en haut et une en bas) sont fabriquées en cabinet. Le gel, composé de peroxyde, est inséré à l’aide d’une seringue dans les moules à placer sur vos dents. Le traitement est à faire à la maison pendant environ deux semaines, avec des séances quotidiennes de 30 minutes à une heure ou de toute une nuit. Un suivi avec le professionnel de la santé est prévu.

Remarque : la Dre Annie St-Georges dit qu’elle privilégie cette méthode, qui permet un résultat très efficace et cause souvent moins de sensibilité aux dents.

Sous la loupe : produits en vente libre avec peroxyde

Coût : entre 10 et 200 $ environ, selon le type de produit.

Fonctionnement : les trousses sont habituellement utilisées sur une période d’une semaine ou deux.

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- Bandes blanchissantes : elles peuvent vous permettre d’obtenir de bons résultats, selon les experts. Mais comme le rappelle Jean-François Lortie, président de l’Ordre des hygiénistes dentaires du Québec, ces bandes sont conçues pour une dentition standard : dents de taille moyenne, alignement parfait, etc. « Si vous avez des chevauchements de dents ou des dents plus longues, le résultat pourrait être un peu inégal ou moins efficace, tandis que des bandes posées sur des dents plus courtes risquent d’embarquer sur vos gencives et vous faire mal », prévient-il.

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- Gouttières : elles sont semblables aux produits vendus en cabinet. Cependant, même si vous pouvez leur donner une certaine souplesse et une certaine forme en les trempant dans l’eau chaude, elles ne remplacent pas les gouttières moulées pour vous, d’après les experts. Par ailleurs, des dépassements sur les gencives et la fuite du produit dans la bouche sont possibles.

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- Produits à appliquer sur les dents avec un applicateur (pinceau, stylet, etc.) : ces produits peuvent fonctionner en théorie, mais, rappelons-le, le peroxyde se décompose dans la salive. Si rien ne protège ou ne recouvre vos dents, « bonne chance pour les garder au sec assez longtemps pour que le produit agisse », avertit la Dre Annie St-Georges.

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- Dentifrices et rince-bouche : de tels produits contenant du peroxyde sont rares, et lorsqu’ils en contiennent, l’exposition en bouche n’est pas suffisamment longue pour être efficace, sans compter que le mélange avec votre salive rend l’exercice caduc, selon la Dre St-Georges. Dans la même veine, vous brosser les dents avec une recette maison de peroxyde d’hydrogène et de bicarbonate de soude ne sera pas plus efficace.

Les abrasifs et autres produits dits « blanchissants »

Certains produits éliminent les taches de surface, mais attention à ce que vous mettez sur vos dents!

Beaucoup de dentifrices et d’autres produits dits « blanchissants » contiennent des agents abrasifs qui poncent la surface des dents pour enlever les taches causées par la consommation de boissons et d’aliments. « Tous les dentifrices contiennent un peu d’abrasifs qui nettoieront vos dents au quotidien », rappelle le président de l’Ordre des hygiénistes dentaires du Québec (OHDQ), Jean-François Lortie. Toutefois, si vous tenez à utiliser un produit spécialisé, il conseille entre autres une pâte dentifrice composée de bicarbonate de sodium, puisqu’il s’agit d’un abrasif doux.

C'est tout le contraire du fameux charbon (ou « charbon activé »), vendu sous forme de dentifrice ou de poudre à humecter, par exemple. Tous les experts que nous avons consultés nous ont mis en garde contre « ce pur produit du marketing » dont l’innocuité à long terme, notamment sur l’émail des dents, n’est pas démontrée. Par ailleurs, son efficacité à court terme n’est pas plus intéressante qu’un produit composé d’un abrasif plus doux, selon la Dre Annie St-Georges, professeure titulaire à la Faculté de médecine dentaire de l’Université de Montréal. « Mais il est certain qu’après vous être mis un produit noir sur les dents, elles auront l’air plus blanches! » lance-t-elle.

Enfin, vous trouverez des solutions parfois farfelues sur Internet : par exemple vous rincer la bouche à l’huile de coco ou au vinaigre de cidre, voire frotter des fraises ou des pelures de banane contre vos dents. Non seulement l’efficacité de tout cela n’est-elle pas démontrée, selon l’experte, mais certains aliments comme la fraise et le vinaigre de cidre sont très acides, ce qui s’avère néfaste pour les dents si vous avez recours à de telles méthodes fréquemment.

Commentaires
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  • Par ANDRÉ SABOURIN
    09 Juillet 2021

    Bonjour, en complément, j’aurais aimé en savoir plus pour ceux qui ont les dents jaunies par des traitements d’orthodonties de style Invisalign. Si je lis entres les lignes, ce ne serait pas nécessaire de payer le produit en cabinet mais celui qu’on trouve en pharmacie est comparable étant donné que nous avons déjà les gouttières adaptées?! Puisque c’est bien le point négatif du produit qui est souligné… Comme vous le mentionnez, il est impossible de voir l’information sur les emballages des produits. Dans ce cas, j’aurais aussi apprécié que vous en fassiez des essais/analyses pour connaître les bons achats. L’article est intéressant mais le dossier est incomplet malheureusement. J’attends la suite :)

    journalist
    Par CéLINE MONTPETIT de Protégez-Vous
    12 Juillet 2021

    Bonjour M. Sabourin,

    Merci de vos commentaires! Nous prenons bonne note de votre désir d'analyse ou test sur ce type de produits.

    Concernant votre question, pour un cas aussi spécifique que le vôtre et la compatibilité des types de produits, nous vous conseillons de consulter un dentiste qui pourra mieux vous éclairer sur la question.

  • Par DENIS CHABOT
    17 Juin 2021

    Beau dossier très bien documenté, Félicitations!

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